Ah ! Ces petits monstres qui nous donnent vie,
Aussi délicats que le chat sédentaire,
Qui s’habille de couleurs en symphonie,
Et toujours d’une chatoyante compagnie.
Ah ! Ces petits monstres paisibles impossibles,
Aussi monstrueux que le chat solitaire,
Qui se fait rond lorsqu’on le nourrit,
Et meilleur délaissé au maquis.
Un air de douce fête sur le jardin verdi,
Un air pour petites bêtes sous les fleuris,
Un air en fond de tête de ces mélodies.
Sous quelles saisons serions-nous nés,
Si ces mouvements n’étaient bon gré ?
Cette valse des monstres à mes pied…
Cette valse de la Beauté Désespérée.
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